26 avril 2011
Où pouvais-je aller ? Sans argent et sans foyer ?
Je pleurais sur mon infortune... Home, home, home... C'est un home que j'appelais de tous mes voeux, et ce home je l'aperçut soudain, mes frères, sans me rendre compte dans mon épuisement, que là où j'entrais, j'étais déjà entré...